Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

MALADIES METABOLIQUES

Publié le par bpprepapharmafiches.over-blog.com

MALADIES METABOLIQUES

 

Médicaments des troubles Lipidiques : cholestérol

 

Lipides circulants : 1/3 par les aliments ; 2/3 origine endogène (fabriqués par le foie)

 

Les lipides

Transformation / Devenir

Info supplémentaires..

 

Résorption

a intestin grêle après hydrolyse par lipase pancréatique

aémulsionnés par sels biliaires →

transformés en grosse particules lipoprotéiques = chylomicrons (rapidt hydrolysés, charge lipidique capté par adipocytes au niveau des tissus)

 

 

Synthèse endogène

a foie

- triglycérides a glucides circulants

- cholestérol (constituant membranes ₵r, intervient ds fabric° hormones et Vit D) a acéthyl coenzyme A

 

 

Transport ds le sang

Du foie (fabriqués) → adipocytes (stockés)  

Lipides insolubles ds sang

Associés à des protéines solubles (= apoprotéines) sous forme de lipoprotéines

Lipol = apol + lipide insoluble circulant

≠ types de lipoprotéines transportant

soit + de triglycérides, soit + de cholestérol

VLDL : ++triglycérides (TG)

LDL : 75% cholestérol ds plasma

capté par ₵ en fonction des besoins en cholestérol ; se débarrassent du trop plein sur les parois artérielles (athérogènes++ et thrombogènes++ = mauvais cholestérol)  

HDL : riche en protéines, peu chargé en cholestérol ; disponibles pr capter du cholestérol (déposé ds les vaisseaux) et le conduire au foie a éliminé sous forme d’acide biliaire : fonction protectrice

 (= bon cholestérol) 

 

Hyperlipidémie : primitives (= héréditaires) ou sndr à 1 maladie : hypothyroïdie, insuf rénale chronique ; cholestase (= absence de sécrétion biliaire dc les lipides ne sont pas éliminés) ; diabète sucré ; sndr à la prise de médict = iatrogène (ex : corticoïde, progestatif ( le bon cholestérol et & LDL, rétinoïdes & les lipides sanguins)

 

Type d’hyper-lipoprotéinémie

 

Description

Type I

 

&° des chylomicrons (rare++)

Type II

a) &° des LDL, très athérogène, hypercholestérolémie pure (que LDL), maladie otozomique

 

b) &° VLDL et LDL (triglycéride et cholestérol) = hyperlipidémie mixte

 

(Type III

&° lipoprotéine anormal des IDL (rare++) très athérogène)

Type IV

 

&° VLDL (triglycérides), la + fréquente des pays industrialisés = hypertriglycéridémie isolée

Type V (exceptionnelle)

&° VLDL et chylomicrons

 

 

 

Signes cliniques des hyperlipidémies

Facteurs de risques cardiovasculaires

Visibles : dépôt de lipides extravasculaire : arc cornéen (blanc autour de l’iris), xanthome cutané (derme)

 

-          Sexe ♂

-          Age > 45 ans

-          Antcdt Familiaux

-           Cholestérol > à 2,5g/L après 30 ans ou > à 2g/L avt 30 ans

-          HTA > 14,9

-          Sédentarité

-          Obésité

-          Diabète type II

-          Ménopause précoce

-          HDL < à 0,35g/L (1 HDL > à 0,6g/L = protecteur)

Non visible : à l’int des vaisseaux ; athérome artériel aboutissant à l’athérosclérose

 

 

Rapport CT (= cholestérol total) / HDL > 5 = risque coronarien x5

Cz ♂ < à 5                 Cz ♀ < à 4,4

 

Sujet n’ayant pas de risque cardiovasculaire VN =

LDL  < à 1,60 g/L

TG  < à 1,50 g/L

HDL > à 0,4 g/L

 

Médicaments hypolipémiants :

 

Classes théra Liste

DCI / Spécialités

Description

Utilisation / indication

EI / CI / Inter

 

FIBRATES

 

L II

 

Fénofibrate = Lipanthyl®

Bezafibrate = Befizal®

Ciprofibrate = Lipanor®

Gemfibrosil = Lipur®

 

( les LDL et VLDL et

& HDL _ amélioration CT/ HDL

 

Hyper-cholestérolémies pures (IIa)

 

Hyper-lipidémie mixtes (2ème intention), tjrs après échec d’1 régime alim adapté  

EI : atteinte muscu : myalgies, &° des CPK (marqueurs des muscles → toxicité muscu), exceptiot : rhabdomyolyse

Rhabdomyolyse = atteinte aigue des muscles striés correspondant à 1 destruct° musculaire massive 

→ myoglobinurie (passe ds sang → urines : toxique pr rein → insuf rénale aigue → mort à court terme

▲ toxicité muscu majorée par insuf rénale et aggravée par assoc° aux autres hypolipémiants

 

Inter : assoc° statine + fibrate ; fibrate + fibrate (toxic muscles)

Trbles digestifs ± ; &° transaminases (= enz hépatique)

Précaution avec les AVK

 

CI : insuf rénale ou hépatique sévères, lithiase biliaire ; déconseillé : grossesse, allaitement

Classes théra  (suite) Liste

DCI / Spécialités

Description

Utilisation / indication

EI / CI / Inter

Inhibiteurs de l’HMG - coenzyme A réductase = STATINES

L I

Simvastatine = Zocor® Lodales®

Pravastatine = Vasten® Elisor®

Fluvastatine = Fractal® Lescol®

Atorvastatine = Tahor®

Rosuvastatine = Crestor®

( product° LDL, & ± HDL mais ( très peu VLDL

Hyper-cholestérolémie pure II a

 

Hyper-lipidémie mixte II b

 

Prévention complic° cardiovasculr

Cz patients à risque (antcd IDM, AVC, diabète type II) avec ou sans hyper-lipidémie

 

* Pravastatine + aspirine 81mg (act° antiagrégant plaquettaire) = Pravadual® 

EI : effets muscu : douleur musculo-squelettique, crampes muscu ; myalgies ; faiblesse muscu ; arthralgie ; &° des CPK ; rhabdomyolyse

Effets hépatiques : & transaminases (réversible qd on continue le Ttt ; impose prudence si antcd hépatique

 

Partager cet article
Repost0

Pharmaco-endocrino

Publié le par bpprepapharmafiches.over-blog.com

Pharmaco Endocrino

 

 

Antigonadotrope : ▲ Décapeptyl® : si stimul° prolongée → inhibition sécrét° gonadotrope (= ″castration pharmacologique″) utilisé chez l’♂ ds le cancer de la prostate, le ttt de la puberté précoce chez la ♀ avt 8ans, chez le ♂ avt 10ans

 

Définition : inducteurs de l’ovulation : médict capable de stimuler l’ovulation lorsque celle-ci n’a pas lieu suite à une insuffisance ovarienne


▲ médict utilisés que si ovaires capables d’ovulation : vu avec HCG, FSH, LH, HMG

 

Rappel :
hormones zone médullaire : adrénaline et noradrénaline ;

- hormones zone corticale : minéralocorticoïde = aldostérone ; glucocorticoïde = cortisol ; androgènes 


Progestérone
 : hyperthermiante, utérorelaxante, ↓ sécrétions vaginales, épaissit la glaire cervicale (= pas d’accès aux têtards icon_razz.gif


Endométriose
 : développement du tissu utérin hors de la cavité utérine


Indice de pearl
 : efficacité des méthodes contraceptives indice 3 = 3♀enceintes/100 testé mm méthode pdt 1an 

 

Anticonceptionnels combinés :  21jrs/7jrs assoc° oestroprogestative ▲ arrêt brusq ttt = hémorragie de privat° (peu abondante du fait de l’atrophie de l’endomètre)


Assoc° monophasiques : qté d’œstrogène et progestatif à doses constantes ds chaq cp et qté fixe pdt ttt : Stédiril®

 

Assoc° minidosées : (qté en éthiniloestradiol ≤ 0.04mg) :

monophasique
 : Harmonet®, Jasmine®, Mercilon®, Varnoline® - 

biphasique
 : (qté d’œstrogène et progestatif dosage + élevé ds la 2ème partie du cycle) : Adépal®, Miniphase®
triphasique : (3 couleurs ; Oe et Pr doses variables en 3 phases) : Trinordiol®, Daily Gé®

 

Méthode progestative continue : progestatif minidosé mm pdt les règles : ▲++ pas d’oubli et horaires fixes,

pas d’inhibit° de l’ovulation mais modif° de la glaire cervicale + atrophie de l’endomètre.

Utilisés qd oestrogènes CI : en VO : Cerazette®, Microval®, en VI : Dépo-provera® (pr les psy), en implants : Implanon® (autonomie 3ans),

contracept° d’urg
 : Norlevo® (dci : Lévonorgestrel), mise en place ds les 72h après rapport non protégé, aucun effet sur grossesse débutée


CI : grossesse, cancer du sein ou utérus, diabète, tabac, obésité, maladie et accidt thromboembollique, trbles cardio avec HTA…

EI
 :

lié œstrogène
 : congestion mammaire, prise de poids, nausées, céphalées, ↑° cholestérol et triglycérides –

lié progestérone
 : ↑ poids, acné, trbles des règles –

 lié aux 2 : mycoses vaginales

Inter med
 : barbituriques, antituberculeux, anti-épileptique (provoquent une induction enzymatique = n’assure pas efficacité totale)

Hormones

Situation / Physio

Action de l’hormone

Conséquences / maladies / Effets sndr / CI

Propriétés / utilisation

 

Ttt / localisation / spécialités

 

Ocytocine

 

Hypophyse

Lobe postérieur 

 

↑ contract° utérus

 

 

 

Si contract° insuf en début/cours de travail et ds tt hémorragies de la délivrance

 

 

Hormone antidiurétique = ADH = vasopressine

↓ la diurèse à forte dose (vasoconstrictrive)

↓° de la sécrét° d’ADH = diabète insipide (soif ++, polyurie)

 

 

 

Enurésie : Minirin®

 

Hormone somatotrope = STH= hormone de croissance= somatropine

Hypophyse Lobe antérieur

Polypeptide

 

Insuffisance = nanisme

 

 

Voie parentérale

Génotonorm®

Zomacton®

Norditropine®

(dci : somatropine recombinante)

ACTH

Stimuline

Stimuline de la sécrétion des hormones  glucocorticoïdes = corticostimuline

 

Anti-inflam

(suite à la libération de gluco-corticoïdes)

= cortico-thérapie androgène  

Tétracoside (dci)

Synacthène®

Voie Inj. (IM)

TSH

Stimuline

Test stimul° thyroïde

 

Exploration de l’axe hypophyso-thyroïdien

Stimu TSH®

Gonadotrophine chorioniques =HCG

 

Stimule le corps jaune

 

Ttt de la stérilité ♀par anovulation ; ♂ par stimul° spermatogénèse

 

 

 

FSH = hormone folliculo-stimulante

 

 

 

♀ : stimule ovulation ♂ :  ″ spermatogenèse 

Dci : follitropine

Gonal F®

Puregon®

HMG = gonadotrophine post ménopausique

 

 

 

Ttt des stérilités

Ménopur®

Dci : ménotrophine

Prolactine

Hypotalamo- hypophysaire

 

Hyper = galactorrhée, aménorrhée ♀; gynécomastie, impuissance, perte libido ♂ //

Trbles digestifs

hypoT, vertiges

confusion mentale

 

Inhibiteur (de la prolactine) :

Parlodel®

Dci : bromocriptine

Hormones thyroïdiennes

 

 

Hypo = Trbles cardio (bradycardie), lenteur intellect, frilosité, constip°, myxœdème // Tachycardie, diarrhée, agit°, insomnie, risq amaigrismt, hypoT

 

 

Extraits thyroïdiens

Lévothyrox®

L-thyroxine® (frigo)

Hormones thyroïdiennes

 

 

Hyper = maladie de Basdow (goitre exophtalmique) accél° cœur, amaigrismt, trmblt mains //

Trbles digest, prise poids, somnolence, risque allergique++

 

Chir. ablat° ou  destruct° glande par iode radioactif

Basdène®

Néomercazole®

Cortico-surrénales

 

 

Hypo = maladie d’Addison : asthénie, hypoT, trbles digest, mélanodermite

 

 

 

 

 

 

Hyper = maladie de Cushing (excès chroniq glucocorticoïdes) obésité facio-hyper…, ostéoporose

 

 

Hormones gluco-corticoïdes

 

Act° physio : ↑° mise en réserve des graisses ; rétention sodique

 

 

Anti-inflam 

Ttt maladie d’Addison, mal inflam, réact° immuno-allergiques

Cortisone®

Hydrocortisone®

Hormones minéralo-corticoïdes

 

Provoq rétention de sodium, d’eau et fuite de K+

 

Ttt insuf surrénalienne

Dci : desoxycortone

Syncortyl®

Hormones sexuelles

Oestrogènes

 

 

CI : grossesse ; cancer sein ou utérus

EI : T mammaire

Mastopathie sévère

Céphalées, vertiges, trbles visu

Nervosité, irritabilité, accident thrombo-embollique,

HTA, ↑ poids, œdème dû rétention hydrosodée

Cz ♂ impuissance, gynécomastie

♀ Insuf folliculaire, hémorragie utérine, ttt substitutif après ménopause

♂ cancer prostate 

Per os : Estreva® ; Oromone® ; Physiogine®

V.percutanée : estraderm® ; Oesclim® ; nasale : aérodiol®

V.vaginale: Colposeptine®; Florgynal®; Colpotrophine®; Trophigil®

Progestatives

 

 

EI : trbles gynéco (saignement intermenstruel)

Trbles neurosensoriels : somnolence, vertiges, céphalées, constip°, ↑poids, trbles hépatiq, dépression

Irrégularité menstruelle,

Dysménorrhée, endométriose, trbles préménopause, ttt ménopause associé à 1 œstrogène 

 

Naturelle et assimilée : Duphaston®

Utrogestan®

Synthé : Lutéran® ; Lutényl®

 

Oestro-progestatifs

 

 

 

Ttt règles, sympto ponctuel aménorrhées non gravidique (pas dû à 1 grossesse)

Synergon®

Androgènes = hormones génitales mâles : testostérone

Fabriquées aussi cz la ♀ par capsules surrénales

 

Contribue au dévelopt des organes sexuels

 

1) Indiqués en cas d’hypo-gonadisme ♂

2) Utilisés comme anabolisants pr ttt amaigrt dénutrit°, brûlures étendues

 

Androtardyl®

 

 

 

 

Anti-androgènes : cancer prostate

♀ : hyper-androgénie, mais tjrs ss surveillance gynéco stricte

Androcur®

Partager cet article
Repost0

Dysfonctionnement du système immunitaire (SI)

Publié le par bpprepapharmafiches.over-blog.com

DYSFONCTIONNEMENT DU SYSTEME IMMUNITAIRE (SI)

 

Réact° de façon excessive a pathologies = hypersensibilité : réact° démesurée contre 1 Ag habituellement inoffensif (pollen). Classées en 4 grds types :

 

TYPE

DESCRIPTION

Spécificités / Patho cibles

SYMPTOMES

  TTT / Spécialités    A revoir ??!!

Type I

Réact° allergique immédiate (20% liés à environmt) ; sujet prédisposé dit « atopique ».

Liée à product° excessive d’IgE spécifique d’1 Ag donné : allergène (ingérés ou inhalés) = allergies alim et respi.   

- 1er contact avec l’Ag : sensibilisation

Dévelopt défense immu en fabrict IgE

- 2ème contact et suivants : IgE se fixent sur mastocytes → dégranulation = libérat° d’histamine

Réactions anaphylactiques : grave++ si libér° histamine trop++ : de réact° locale a réact° généralisée œdème de Quincke : défaillance respi lié œdème pharynx, bronchospasme, (TA, urticaire

Rhinite : écoulmt nasal++, clair et liquide ; tx spasmodique = quinte ; tx sèche irritante ; asthme

Oculaire : larmoiement, conjonctivite

Digestif : V, D douleur abdo

Cutané : urticaire, dermatite atopique

-Beconase® atrovent® telfast®

Clarityne® Aerius® zyrtec ® virlix® ; cétirizine

-Collyres :opticron® sterdex® cidermex® bacicoline®

-Allairgix® sédermyl® 

dermoval® Locoïd® diprosone®  

 

Prednisolone® cortisone … bétaméthasone 

Type II

= Réact° cytotoxique ; liée à des Ac qui sont liés à des IgM et des IgG se fixant sur Ag ayant pénétré l’organisme ; les Ac a destruct° des ₵ en activant le syst du complément

On les retrouve ds les hémolyses post transfusionnelles ; maladie hémolytique du Nné

 

 

Type III

= Réact° semi retardée = réact° à complexe immun

Causée par dépôt de complexe immun = Ag-Ac ds les tissus et les vaisseaux

Pneumopathies

Après absorption de certains médict ; néphropathies ; vascularites

 

 

Type IV

= Sensibilité retardée

Réact° à médiation ₵r, indépendante de la form° d’Ac

Observée lors eczéma de contact (réact° lente) urticaires chroniques, allergies microbiennes

Surviennent 24 à 48h après contact avec Ag

Réact° de type test tuberculinique 

 

 

 

Réponse trop faible a déficit immunitaire = immunodéficience : insuff d’1 ou +sieurs fonct° du syst immunitaire entraînant des manif patho ; déficit soit : primitif (congénitaux) soit sndr (acquis au cours de la vie)

 

Type de déficit immunitaire

Description / Symptômes

Pathologies

TTT

 

Primitif ou congénitaux

Rares cz l’♂ ; déficit ds 1 catégorie de ₵ immunitaires (déficit en PN, en LB, Ac, LT, d’activation du complément) ; antcdt familiaux 

Enfants : infect° à répétition et ne répondant pas au Ttt

Qd le déficit immunitaire touche le syst humoral, les affections touchent les app respi, affections mycosiques

- Agammaglobulinémie congénitale (absence de gamma globuline = IgG) = maladie de BRUTON : insuff en LB, déficit en immunoglobuline et en Ac (rare ; touche les garçons)

Infect° répétées de la sphère ORL ; bactériennes uniqt

- Déficit en LT a aplasie thymique = maladie de DIGEORGE a dévelopt anormal de ₵ sanguines, personne naissant avec 1 insuff du thymus a infect° répétées virales et mycosiques

 

- Inject° mensuelles de gammaglobulines

 

 

 

- Ne peuvent être soignés

Evolution : DC

 Seule guérison possible : greffe de thymus (de BB)

Déficit mixte ne fabrique ni LB ni LT

 

Secondaire

 

Immuno-déficience provoquée par :

- Malnutrition (les Ac immunoglobulines sont des protéines)

- Infections :

 Virales ; bactériennes ; médicamenteuses

 

 

Virales a immunodéficience (virus rougeole) ; Mononucléose transmis par la salive (maladie du baiser) ; Rubéole ; Herpes 1 et 2 ; Sida → destruct° des LT4

Bactériennes a certaines immunodéficientes : Tuberculose pulmonaire ; Lèpre ; parasitoses → Toxoplasmose ; Tumeurs maligne

Médicamenteuse : immunosuppresseurs ; anticancéreux = cytotoxiques ; corticoïdes

 

 

Maladies auto-immunes : perte de la faculté de reconnaissance des Ag du non soi et du soi, s’attaquant à ses propres constituants

Dues à association de +sieurs facteurs : génétiques, hormonaux (Prédominance ♀), d’1 mauvaise régul° du SI et dérèglement interne d’1 organe (cible : ts organe)

 

MALADIE

CIBLE

CONSEQUENCES

Diabète insulinodépendant (DID)

Cellules de LANGERHANS du pancréas (insuline)

Hyperglycémie

Maladie de BASEDOW

Thyroïde : récepteur TSH

Hyperthyroïdie

Sclérose en plaque (SEP)

Myéline des centres nerveux

Troubles du système nerveux

Myasthénie

Récepteurs à l’acétylcholine : ACTH

Faiblesse musculaire ; paralysie

Anémie pernicieuse de BIERMER

Cellules gastriques

Troubles gastriques (ulcération, hémorragie, anémie)

Polyarthrite rhumatoïde

Cartilage

Rhumatismes articulaires

Lupus érythémateux disséminé (LED)

ADN

Erythème ; lésions : rénale, articulaire, musculaire

 

Maladie de CHRON : colite ulcéreuse hémorragique par inflam du côlon

Ttt : soulager la douleur : antalgique ; anti-inflam ; cortisone ; immunosuppresseurs

Sensibilité ++ aux virus et bactéries. Ac monoclonaux spécifique d’1 seul Ag donné ; médict : interleukines ; interférons

Partager cet article
Repost0

Greffe et transplantation d'organes

Publié le par bpprepapharmafiches.over-blog.com

GREFFE ET TRANSPLANTATION D’ORGANES

 

Greffon = organe ou tissu (cornée ; tendons ; peau ; ligaments ; valves cardiaques ; vaisseaux)

Il peut être des ₵ souches (de la MO)

≠ types de greffe :

 

-          autogreffe : (acceptation totale) : greffe d’1 greffon d’1 individu à lui mm

-          isogreffe : (iso = identique) : greffon prélevé chez 1 donneur de constitution génétique identique à celle du receveur (= 2 vrais jumeaux homozygotes)

-          allogreffe : (la + courante) : greffon prélevé chez 1 donneur de la mm espèce mais génétiquement ≠ (humain à humain)

-          xénogreffe : (xéno = étranger) : le greffon provient d’1 espèce ≠ (animal à humain ; le porc a les Cmh le + proche de l’♂..)

 

Dès lors d’1 greffe a réponse immunologique : réaction de rejet à médiation ₵r

≠ formes de rejet de greffe :

 

-          rejet suraigu : forme rare++, survenant ds les minutes suivant la transplantation ; dû à la présence chez le receveur d’Ac dirigés contre les Ag du Cmh et du syst ABO du donneur

-          rejet précoce aigu : a lieu ds les 10jrs ; lié à l’attaque des LT8 du receveur vers le greffon

-          rejet tardif aigu : à partir du 11ème jr ; lié à la form° de dépôt d’immunoglobulines sur les parois vasculaires provoquant 1 obstruction des vaisseaux

-          rejet chronique ou tardif : apparaît des mois ou années après ; lié à détérioration fonctionnelle du greffon (greffon durée de vie limitée → d’où Re- transplantation)   

 

Condition de réussite d’1 greffe :

 

-          compatibilité du syst ABO (respect+++) et du Cmh (choix d’1 donneur possédant 1 Cmh le + proche du receveur)

-          Ttt immunosuppresseur obligatoire pr tte greffe = bloque en préventif et temporaire les mécanismes immunitaires avec le – d’E sndr (nbrx) a éviter le rejet ▲ils sont des risques d’infect° majorés et spécifiqt viral (car immunité à médiation ₵r) et favorisent le dévelopmt de certaines tumeurs

 

Médicts immunosuppresseur : ciclosporine ® (1er découvert) 

 

Famille

DCI

Spécialités

Action

Inhibiteurs de la synthèse des cytokines (ou calcineurine)

Ciclosporine

 

Tacrolimus

Néoral® ; SandImmun®

 

Prograf®

Empêche la sécrétion de certaines cytokines et l’interféron par les LT4

Inhibiteurs de la synthèse d’ ADN

Azathioprine

Imurel ® ; Cellcept® ; Endoxan®

Empêche la synthèse d’ADN au niveau des lymphocytes qui empêchent leur prolifération

Anticorps anti-lymphocytaires

 

Réservé hôpitaux

 

 

 

 

-Ac monoclonaux : dirigés contre 1 seul Ag

- Ac polyclonaux : s’attaquent aux LB et LT et les détruisent

Corticoïdes

Cortisone :

Prednisone

Méthylprednisolone

Prednisolone

Bétaméthasone

 

Cortancyl ®

Solumédrol®

Solupred®

Célestène®

Anti-inflam ++ avec act° immunosuppressive sur les macrophages.

 

 

Protocoles varient en fonction du tps :

 

-          1er mois suivant transplantation a trithérapie (1 immunosuppresseur majeur : ciclosporine ou tacrolimus ; + 1 sndr renforçant l’act° ; + 1 corticoïde à forte dose)

-          après qq mois a bithérapie : 1 immunosuppresseur + 1 corticoïde en ( progressivmt les doses

Partager cet article
Repost0

Immunité spécifique (IS)

Publié le par bpprepapharmafiches.over-blog.com

Immunité spécifique (IS) :

Chez organismes + évolués on trouve en // de l’immunité non spécifique, l’immunité spécifique

Ces 2 syst (INS et IS) agissent en mm tps ds les organismes habilités à les avoir

2 types d’immunité : à médiation humorale ; à médiation cellulaire

 

Caractères de l’immunité spécifique 

Spécificité

L’immunité acquise en présence d’1 élément étranger, ne s’exerce que contre cet élément étranger et jamais contre 1 autre

Mémoire

L’immunité acquise lors d’1 1er contact permet à l’organisme de rejeter le mm Ag bcp + rapidement lors d’1 snd contact

Reconnaissance du non soi

Phase de reconnaissance permettant de reconnaître les éléments du soi et du non soi, de façon à ce que les éléments du syst immunitaire ne s’attaque qu’aux éléments du non soi

 

Immunité active : immunité fabriquée par l’organisme lors d’1 contact avec 1 Ag (confronté à 1 maladie)

Immunité passive : immunité que l’on va administrer (ex : vaccination ; soit directement des Ac → sérum)

 

Immunité à médiation humorale : apparition d’Ac = immunoglobulines =Ig : protéines sécrétées par les plasmocytes et fabriqués spécifiquement à l’introduction d’1 Ag particulier, ne se lie qu’à cet Ag. Immunité transférable d’1 individu à 1 autre par l’intermédiaire du sérum (transfusion ; mère au fœtus).

Prédominance de cette immunité si bactérie à développement extra₵r

Ig

représentés sous forme de Y, constitués de 4 chaînes d’AA, reliées entre elles par des ponts disulfure

 

Partager cet article
Repost0

Immunité non spécifique (INS)

Publié le par bpprepapharmafiches.over-blog.com

Immunité non spécifique (INS) :

Ens des moyens naturels non spécifique mis en œuvre pr éliminer un élément étranger ; représentée par 2 barrières importantes

Rôle ++ ds lutte contre les bactéries

 

 Barrières naturelles : peau et muqueuse

Assure ≠ type de protection : mécanique (arrête physiqt 1 corps étranger) ; barrière chimique : subst sécrétée : sueur (thermorégulation) pH 3,5 (acide) suc gastrique pH 1 ; rôle biochimique fabric° d’enz bactéricides : ds salive, mucus nasal, larmes = lysozyme (réact° chimique de destruction) ; rôle écologique : lié à la présence sur la peau et muqueuse d’une flore saprophyte = commensale (non pathogène/ non nuisible)

 

Réact° inflam :

₵ phagocytaires = GB = polynucléaires neutrophiles (1ères à migrer du sang vers les tissus ; vont dégrader complètement l’Ag) et macrophages (vivent ds les tissus ; dégradent partiellement l’Ag), sont attirés au point de pénétration de l’Ag

 

Modif° vasculaire a éliminer les agents étrangers grâce à la phagocytose : 2 étapes :

1 – migration des leucocytes : au lieu de pénétration de l’Ag → vasodilatation a (° flux sanguin : &° de la perméabilité capillaire a exsudation du plasma (rougeur locale, œdème, douleur ± importante) lors de celle-ci les PN passent à travers la paroi des vaisseaux pour migrer vers l’Ag a afflux local des PN à l’endroit de l’inflam

 

2 – la phagocytose : PN et macrophages ingèrent et détruisent les éléments étrangers (rôle ++ ds lutte contre bactéries) ; 4 phases :

 

-          phase de rapprochement des ₵ phagocytaires vers l’Ag, se déplaçant par chimiotactisme

-          phase d’adhérence = phase d’opsonisation : la ₵ se lie par l’intermédiaire de récepteurs présents à sa surface 

-          phase d’ingestion : la ₵ phagocytaire émet des pseudopodes qui englobent le germe, lorsque les pseudopodes se sont rejoints l’Ag est enfermé à l’int de la vacuole de phagocytose (animation Phagocytose à voir dans mes liens)

-          phase de digestion : les lyzosomes de la ₵ fusionnent avec la vacuole de phagocytose, déversent le contenu à l’int de cette vacuole a mort ou destruct° de la particule phagocytée a rejet des prod de dégradation

 

Ds d’autres cas, les Ag phagocytées persistent et se multiplient ds les ₵ phagocytaires (germes très virulent et résistants) puis se disséminent ds l’organisme

La phagocytose se déroule ds +sieurs parties du corps : intestin ++, rate, ganglions lymphatiques, amygdales, végétations

 

Système du complément :

Comporte ≈ 20 protéines plasmatiques inactives hors infection ; lors d’infect° s’activent en cascade jusqu’à l’obtention d’1 protéine enzymatique permettant la lyse de la bactérie.

Rôles : lyse ₵r ; attirer les phagocytes par chimiotactisme au lieu de l’inflammation ; active la phagocytose en favorisant la phase d’adhérence ; neutralise les virus   

Partager cet article
Repost0

Système immunitaire

Publié le par bpprepapharmafiches.over-blog.com

Système immunitaire : tissus et cellules de l’immunité

 

Comporte des organes lymphoïdes → des ₵ immunocompétentes → des subst actives

 

ORGANE LYMPHOÏDE

 

ORGANE TYPE

 

LOCALISATION / RÔLE

 

Organes lymphoïdes centraux 

 

Thymus

 

indispensable et lieu de maturation des lymphocytes T

Moelle osseuse

fabrique ttes les ₵ du sang : GR = hématies ; GBlcs = leucocytes rôle ds immunité ; plaquettes = thrombocytes rôle ds coagul°

Organes lymphoïdes périphériques (sndr) 

Ganglions lymphatiques

(≈ 1000) isolés (ventre) ou regroupés en chaîne (cou, aisselle, aisne), protégés par de petites capsules ; ils défendent l’organisme 

Rate

rôle filtre immunologique du sang, vascularisée+++, nbreuses réact° immunitaires 

Appendice

excroissance sur côlon droit : défense locale de l’organisme

Amygdales

Pharynx

Végétations

derrière le nez

Plaques de Peyer 

sur intestin grêle (amas de ₵ lymphoïdes) défense locale de la zone digestive

Cellules immunocompétentes : ttes ₵ intervenant ds syst immunitaire = fabriquées ds moelle osseuse à partir des ₵ souches qui se différencient pr donner naissance aux ≠ catégories de GBlc

 

₵ immunocompétentes

globules blancs

tous fabriqués ds la MO

 

Types de cellules / GBlcs

 

FONCTION / RÔLE / LOCALISATION

Globules blancs

 

 

 

 

 

 

 

 

≠ lymphocytes T :

 

 

Lymphocytes

Fabriqués ds moelle osseuse

Dirigés vers 1 type d’Ag qui leur est spécifique

Lymphocytes B

Fabriqués ds moelle osseuse a passent ds circul° sanguine a immunocompétents : capable de détecter 1 Ag et l’éliminer

Durée de vie ≈ 3 semaines ; fabriqués en permanence puis se détruisent

 

Lymphocytes T

 

 

1 fois sorti de la MO a thymus (obligé) a subissent maturation a passent ds circul° sanguine

* Lymphocytes T cytotoxiques = LT8

 

Toxiques contre certaines ₵, reconnaissent 1 Ag bien particulier et lysent la ₵ porteuse de l’Ag

* Lymphocytes T helper  = LT4

Aide ; effet stimulant sur l’ens des mécanismes immunitaires

* Lymphocytes T suppresseur = LTs

Rôle contraire aux helper : freine ou stoppe les réactions immunitaires

* Lymphocytes T mémoire

 

Plasmocytes

Cellules formées à partir des lymphocytes T ; ils sont spécifiques d’1 Ag donné

Cellules phagocytaires = phagocytes

 

≠ types de cellules

 

 

 

 

Polynucléaires = granulocytes

 

3 sortes :

 

 

Qui mange = responsable de la phagocytose

 

+sieurs noyaux ; dégradent complètement l’Ag ; rôle anti-infectieux ; fabriqués ds MO à partir des ₵ souches ; renouvellement continu, durée de vie ≈ 10 jrs ; passent ds circul° sanguine et vont être immunocompétents

Si infect° : localise a intègre les tissus a phagocytose    

polynucléaires neutrophiles = PN

Rôle dans la phagocytose (PN seulement)

Polynucléaires éosinophiles = PE

Rôle dans réaction allergique

Polynucléaires basophiles = PB

Rôle dans réaction allergique

Macrophages

(Les monocytes se transforment en macrophage)

grosses molécules qui mangent, vivent ds les tissus et sont responsables d’1 partie de phagocytose ; détruisent partiellement l’Ag ; fabriqué ds compartiment de product° des monocytes acircul° sanguine a pénètre ds 1 tissu a mange et reste en place : ne peuvent pas revenir ds circul° sanguine ; durée de vie : =sieurs mois ds les tissus : assure défense locale 

Mastocytes

Grosses ₵

Présent ds ganglions lymphatiques et pratiqt ds ts tissus de l’organisme SAUF ds le cerveau ; issues de polynucléaires basophiles

Renferment des granules contenant des médiateurs chim respons de l’inflam : histamine

L’activation des mastocytes aboutit à 1 dégranulation càd libération de l’histamine (repons de réact° allergique) ds le milieu extérieur

Cellules NK = natural killer

 

Dérive des lymphocytes ; ₵ qui tuent direct les ₵ porteuses de l’Ag ; rôle non spécifique (aspécifique), et de protection contre les virus et de destruction des ₵ cancéreuses

Molécules :

Fabriquées par les ₵ immunocompétentes a 3 types à fonct° immunitaire

 

Anticorps = immunoglobulines = Ac / molécules sécrétés par les plasmocytes

Qd 1 Ag pénètre l’organisme : &° vol des ganglions lymphatiques contenant ++ plasmocytes qui fabriquent des Ac a passent ds circulation sanguine et véhiculés jusqu’à l’endroit de pénétration de l’Ag.

 

Histamine = subst chimique libérée par les mastocytes (provenant des LB) ; par dégranulation des mastocytes provoque localement érythème et œdème ; sa libération entraîne (° pression artérielle (PA) et spasmes muscu lisses (peut être mortel)

 

Cytokine : glycoprotéines : petites molécules au rôle de médiateur immunitaire ; produite qu’après 1 activation de rejet ; dialogue entre les ≠ ₵

Composées de +sieurs subst :

- Interférons : subst chim sécrétées par des GBlcs pr activer les macrophages (fait réagir l’organisme)

- Interleukines : 17 ≠ ; sécrétées par les LT

- TNF : facteur nécrosant des tumeurs

Partager cet article
Repost0

Base de l'immunologie

Publié le par bpprepapharmafiches.over-blog.com

IMMUNOLOGIE

 

Chromosome : constitué d’1 molécule d’ADN

ADN : support universel de l’info génétique

Codage de l’info génétique : réside ds la séquence de nucléotide

Nucléotide : constitué d’1 molécule d’acide phosphorique lié à 1 molécule de désoxyribose, lié à 1 base azotée ; chaque séquence = 1 gène

Molécule d’ADN = grd nbre de gènes

Gène : constitué par 1 séquence qui lui est propre + emplacement sur molécule d’ADN ; gène occupant mm emplacement sur les chromosomes homologues = allèles

Caryotype : ens de chromosomes d’1 individu d’1 espèce donnée ; = 23 paires de chromosomes

Génome : ens des gènes contenus ds les chromosomes

Génotype : contenu génétique d’1 individu par opposition au phénotype : ens des caractères apparents d’1 individu

Antigène : corps étranger (bactérie, virus, poussière, particules ….)

Anticorps = immunoglobuline : Protéine du sang synthétisée par les cellules du système immunitaire en réponse à la pénétration d'un corps étranger : subst défensive engendrée par l’organisme

 

Système immunitaire : ens des mécanismes utilisé par l’organisme pr distinguer le SOI du NON SOI ; nécessite mémorisation des structures étrangères rencontrées au cours de la vie

3 fonct° :

-  défendre l’organisme contre les infect° (virus, bactéries….)

-  éliminer en permanence les tissus dégradés

-  détecter et éliminer les ₵ mutantes

 

Non soi : constitué de ttes subst étrangères au corps ; qd 1 subst y pénètre → analysée par syst immuno ; si reconnue étrangère, elle devient immunogène = capable d’induire 1 réact° immunitaire (de défense)

2 critères : ttes les subst du non soi ne sont pas codées par le génome de l’organisme, elles sont reconnues étrangères à celui-ci

 

Le Soi : identité bio spécifique d’1 individu déterminée par la présence sur ttes les ₵ de structures moléculaires (= marqueurs antigénique du Soi, situés à la surface de ttes les ₵ = CmH ; contrôlés par nos gènes et transmis par hérédité ; ≠ sur ₵ du corps et sur GR = A.B.O) qui lui sont propre et qui sont l’expression de son génome 

 

Marqueurs du syst A.B.O : présents que sur hématies ; 4 grpes : A ; B ; AB ; O ; définis par des marqueurs ≠ à la surface des GR.

Si GR marqueur A = la personne a 1 phénotype A (sur gènes au – 1 gène A)

Si …………….. B = ………………………….. B

Gène porteur de l’info du grpe sanguin = chromosome 9 → 3 allèles possibles de 3 formes ≠ (allèles ABO)

Si sur ce chromosome 9 on a l’allèle A, celui-ci va coder pr la synthèse des marqueurs B

Si …………………………………   B, ……………………………………………….. A

 

si allèle O = aucune synthèse à la surface des GR

si présence des 2 allèles A et B sur les chromosomes = synthèse à la fois du marqueur A et du marqueur B sur le GR

Marqueurs = antigènes pr A et B ; donnent 4 grpes sanguins :

 

Les Ac anti A et anti B sont les seuls que chaque individu porte à sa naissance.

 

GROUPE

ALLELE

ANTIGENE

ANTICORPS ds sérum

RECEVEUR / DONNEUR

Groupe A

Allèle A sur chromosome 9

Antigène A

Anticorps anti B

Receveur groupe A et O

Groupe B

Allèle B sur chromosome 9

Antigène B

Anticorps anti A

Receveur groupe B et O

Groupe AB

Allèle A + B

Antigène A + antigène B

Aucun anticorps

Receveur universel

Groupe O

Allèle O

Pas d’antigène

Anticorps anti A et anti B

Ne peut recevoir que O ; par contre DONNEUR universel : ne génèrera pas de réact° immunitaire

 

Règles des transfusions sanguines :  

Veiller aux Ac du receveur

 

Autre système de groupe sanguin :

Le système Rhésus (porté par les GR)

Syst sous dépendance d’1 gène situé sur le chromosome 1 ; complexe, comporte 47 molécules antigéniques ≠ : marqueur rhésus ; sur 47, rôle ++ de 5 d’entre eux :

 

*Antigène D = antigène rhésus Rh : très immunogène, capable de déclencher ++ réact° immunitaire ; si transfusion sanguine vérifier compatibilité Rh (au moins celle Ag D)

L’anticorps correspondant à l’Ag D = Ac anti D (n’est pas présent de façon naturelle ds l’organisme à la naissance)

 

Une personne porteuse à la surface de ces GR de cet antigène D est dite rhésus D+ → Rh+

Une personne ne le possédant pas = Rh

 

Il existe aussi les antigènes C : Ag C ; Ag c ; Ag E ; Ag e

 

Les donneurs universels O avec Rh   : act° immunitaire pas de rejet

 

syst Rh : lors d’1 grossesse, il peut y avoir incompatibilité Rh ; lorsqu’1 ♀ de Rh (uniquement -) porteuse d’un enfant de rhésus opposé (donc positif), si 1ère grossesse : ok ; par contre dès accouchement du 1er enfant lors de la rupture placentaire = mélange des 2 sangs : la mère va fabriquer des Ac anti D

 

Lors d’1 snde grossesse : il faut que le BB soit de Rh  pr que tout soit ok ; s’il est Rh+ les anticorps anti D présents de la 1ère grossesse vont provoquer 1 réact° immunitaire → passe barrière placentaire et se fixent sur les Ag correspondant et font exploser les GR du placenta

a Anémie hémolytique du Nné

a Parfois mort de la mère en mm tps lors de l’accouchement

Lors de l’accouchement on peut injecter des Ac anti D

 

Identification au préalable du Rh du BB par amniocentèse

 

Marqueurs du système Cmh : marqueurs du soi immunologique

Complexe majeur d’histocompatibilité = HLA : human leucocyt antigen

 

Codé par 6 gènes Cmh (comportant chacun 182 allèles) sur chromosome 6 = gène A, B, C, Dp, Dq, Dr (6 emplacements sur mm chromosome)

Càd chaque individu a sa propre carte d’identité immunologique (seul cas vrai jumeaux / homozygotes, ont un mm génotype et 1 mm phénotype)

à étudier ++ lors d’1 greffe d’organe afin d’éviter le rejet, le Cmh doit être le + proche du donneur et receveur

Le syst immunitaire ne déclenche aucune réact° contre ce soi, mais déclencherai 1 réact° contre les ₵ qui ne lui appartiennent pas (si nos propre ₵ en culture – réinjection – pas de rejet)

Partager cet article
Repost0

Médicaments sur le plan galénique...

Publié le par bpprepapharmafiches.over-blog.com

MEDICAMENT SUR LE PLAN GALENIQUE :

 

Substance ou mélange de substance qui est introduit dans l’organisme, par une voie d’administration déterminée, dans le but de soulager le malade ou d’agir efficacement sur la maladie et parfois dans le but de la prévenir

 

 

BIODISPONIBILITE :

 

Fraction de la dose de médicament administré, qui a atteint la circulation générale, et la vitesse à laquelle elle l’atteint

 

ABSORPTION :

 

Processus par lequel le médicament inchangé passe de son site d’administration à la circulation générale

 

…………………………………………………………………………………..

 

 

COMPRIMES

 

Les comprimés sont des préparations solides contenant une unité de prise d’un ou plusieurs principes actifs. Ils ont obtenu en agglomérant par compression un volume constant de particules 

 

 

Par granulation sèche :

 

P.A. + excipients obligatoires liants secs + diluants => réduction pour garantir l’homogénéité => poudre homogène => compression grossière => blocs de poudre => broyage industriel => grains => calibrage du grain par tamisage => grains + adjuvants lubrifiants +délitants => compression

 

Par granulation humide :

 

P.A. + excipients obligatoires liants secs + diluants => réduction pour garantir l’homogénéité => poudre homogène => humidification par solution de mouillage => pâte => granulation => grains humides => séchage => grains + adjuvants lubrifiants + délitants => compression

 

 

Par compression directe :

 

P.A. + adjuvants liants + diluants => mélange => poudre homogène => compression => comprimés

 

 

Comprimé à libération modifiée :

 

Préparation dont la vitesse de libération des P.A. est différente d’une forme pharmaceutique conventionnelle, destinée à la même voie. Cette modification de vitesse de libération des P.A. sera réalisée volontairement grâce à des méthodes appropriées et reproductibles

 

Comprimé à libération accélérée : effervescent, lyoc, dispersible

 

Comprimé à libération différée : comprimé gastrorésistant = entérique

 

Comprimé à libération continue : - cp matriciel – cp osmotique – capsules dures à libération ralentie continue

 

Comprimé à libération ralentie, répétée, fractionnée : - cp multicouche – cp à noyau – capsules dures à libération ralentie fractionnée

 

 

…………………………………………………………………………

AROMATISANT :

 

Caractère organoleptique perçu par les organes olfactifs uniquement par la voie rétro nasale au moment de l’ingestion du produit

 

 

HYDROLATS

 

(Produit initial- produit fini – op° pharmaceutiques)

 

Drogue +eau => macération => distillation => eau aromatique + essence => filtration => hydrolats

 

 

HUILE ESSENTIELLE

 

(Idem)

1 :

Plante fraîche + eau => macération => macérât => distillation => distillat => filtration en décantation => huile essentielle

2 :

 

Enfleurage

Drogues végétales + corps gras => dissolution de la graisse dans l’alcool => soluté alcoolique => distillation => huile essentielle

 

3 :

Zest agrumes => expression => huile essentielle

 

 

ALCOOLATS :

 

Drogue végétale + alcool => macération => macérât => distillation => alcoolat

 

 

EXTRAIT

 

Préparations concentrées, liquide, solide ou de consistance intermédiaire généralement obtenues à partir de matières 1ères végétales ou animales séchées

Chaque extrait est défini selon la nature de son solvant d’extraction, son mode opératoire, sa composition

Publié dans GALENIQUE - TP

Partager cet article
Repost0

Base de la galénique

Publié le par bpprepapharmafiches.over-blog.com

4 QUALITES OBLIGATOIRES D’UNE BALANCE :

 

-         justesse

-         force

-         sensibilité

-         fidélité

 

CHOISIR UNE BALANCE :

 

-         trébuchet

-         Roberval

-         électronique 

 

  • trébuchet : erreur absolue : 0.005g …………pesée à réaliser (100g)
  • Roberval :   erreur absolue : 1g………………pesée à réaliser (100g)

 

Prendre le résultat le plus proche de zéro

 

COMPTE GOUTTE DE LA PHARMACOPEE :

 

Instrument de mesure qui permet de garantir que 20 gouttes d’eau distillée pèsent 1g à une température ambiante de 20°C + ou – 1, à un débit constant d’une goutte par seconde

 

MASSE VOLUMIQUE :

 

Rapport entre la masse d’un corps et son volume dans des conditions déterminées de température et de pression

Unité de base : Kg/m3

 

(Kg/m3 : 1000 ; Kg/dm3 : 1 = unité de base utilisée)

(1g/cm3 : g/ml)  1 cm3 = 1 ml

 

DENSITE :

 

Toute densité d’un corps est définie par rapport à une substance de référence, pour les solides et les liquides, cette substance est l’EAU.

 

La densité d’un corps est le rapport entre la masse d’un volume donné de ce corps et la masse du même volume d’eau (dans des conditions déterminées de température et de pression)

 

DESSICATION :

 

Ensemble d’opérations qui consistent à assécher une matière càd, à la priver de l’eau libre qu’elle contient, ou de l’eau qu’elle a pu absorber.

 

PULVERISATION :

 

Opération qui a pour bit de réduire 1 ou plusieurs corps solides, en particules + ou – ténues ; dont l’ensemble constitue une poudre.

 

Un corps ténu est un corps qui est fort délié et mince

 

GRANULOMETRIE :

 

Classement d’un produit pulvérulent en pourcentage de grains de différentes grosseurs qui le compose  

 

TAMISAGE :

 

Opération qui suit la pulvérisation.

Elle garantira une certaine ténuité de la poudre conforme à la pharmacopée,

But : donner une poudre d’une finesse déterminée et d’une parfaite homogénéité    

 

GARNULOMETRIE EN INDUSTRIE :

 

Chaque poudre est caractérisée par la dimension de ses particules

 

Test par contrôle successif par passage sur des tamis

Avec microscope ou compteur électronique

On compte le pourcentage de grains restés sur chaque grille

 

Intérêt : homogénéité et stabilité

 

OPERATION DE MELANGE ET DE DISPERSION :

 

Opération qui intervient dans la fabrication de toutes les formes pharmaceutiques et la finalité du mélange est d’obtenir une association homogène de constituants

 

DISPERSION :

 

Mélange d’un produit dans un liquide ou un gaz dans lequel il est insoluble

 

EMULSIONS :

 

Système de 2 phases liquides non miscibles, dont l’une est finement divisée en gouttelettes dans l’autre

SUSPENSIONS :

 

Système à 2 phases constitué par de fines particules solides dispersées dans un liquide appelé véhicule, dans lequel elles sont insolubles

 

MOUSSES :

 

Résultent de la dispersion d’un volume important de gaz dans une préparation liquide

 

AEROSOL :

 

Il résulte de la dispersion d’un solide ou d’un liquide dans un gaz

 

DISSOLLUTION SIMPLE OU COMPLETE :

 

 

Elle est dite complète lorsque le solvant en proportion suffisante est capable de dissoudre entièrement la substance, on obtient à la fin 1 seule phase liquide homogène

DISSOLUTION EXTRACTIVE :

 

Dissolution partielle qui consiste à utiliser un solvant pour entraîner les matières actives d’une substance incomplètement soluble

 

Appelée dissolution partielle, car en fin d’opération il reste toujours des résidus

 

COEFFICIENT DE SOLUBILITE :

 

-  Quantité minimale de solvant nécessaire pour dissoudre une partie d’un corps

 

-  Quantité maximale du corps à dissoudre dans une quantité donnée de solvant (en général 100g)

 

CONCENTRATION D’UNE SOLUTION :

 

Rapport entre la quantité de corps dissout et la quantité totale de préparation

 

 

Solution saturée : quand on a atteint le coefficient de solubilité, exprimé en %age

 

Solution sursaturée : coefficient de solubilité dépassé

 

Solution diluée : lorsqu’on s’éloigne du coefficient de solubilité 

 

DECANTATION :

 

Opération qui permet de séparer les solides insolubles, se trouvant dans 1 liquide (ou encore 2 liquides) de densité différentes et non miscible

 

FILTRATION :

 

Opération qui sépare le liquide des particules qu’il contient en suspension en se servant d’une substance appelée filtre

(Toute installation de filtration est appelée : réseau filtrant)

 

2 paramètres pour les réseaux filtrants :

-  porosité du filtre

-  débit

 

POROSITE :

 

Définie par le diamètre moyen des pores du filtre

 

DEBIT :

 

Consiste à mesurer le temps mis par un volume donné de liquide, pour traverser le filtre

S’exprime en ml/ min ou en m3/H

 

DISTILLATION :

 

Opération destinée à séparer les constituants liquides volatils d’une substance

2 changements d’état :

 

-         vaporisation (état liquide à gazeux)

-         condensation (état gazeux à liquide)

 

STERILISATION :

 

Mise en œuvre d’un ensemble de méthodes et de moyens visant à détruire ou éliminer tous les micro-organismes qui souillent un objet ou un produit

 

STERILITE : Absence de micro-organismes viables garanti et prolongé dans le temps de toute recontamination à l’aide d’un emballage individuel, il s’agit d’un état stable (pendant un temps donné)

Publié dans GALENIQUE - TP

Partager cet article
Repost0

<< < 10 20 30 40 50 60 70 80 81 82 83 84 85 > >>